Collier, harnais, laisse, longe : comment bien choisir ? 

              Irca, Berger Allemand de Kateline, avec son harnais Julius K9 et Kaïla, Cavalier King Charles de Stéphanie

"panier, jouets, collier, laisse, brosse", voilà à peu près à quoi ressemble les tous premiers achats de tout futur propriétaire de chien. Une fois l'épineuse question du panier en dur ou du dodo tout mou tranchée, après avoir opté pour le kong noir, le rouge, la balle, puis le pouic et aussi cette petite peluche si mignonne, le futur maître-gâteau se retrouve confronté à un large choix de colliers, de harnais, de laisses et de longes en tout genre auquel il ne s'attendait pas forcément. Un immense doute s'intalle alors. 

Pour vous éviter le stress d'une telle situation, qui vous conduirait sans doute à demander l'avis d'un vendeur qui vous conseillera très certainement sa marque partenaire ou son produit le plus cher, ou bien de consulter des forums où s'affrontent des pro-ceci et anti-cela dans une ambiance pas toujours des plus amicales, Zoalis vous propose un panorama des outils qui sont à votre disposition, en fonction de votre chien et en vous présentant à chaque fois les points positifs et négatifs de chacun d'entre eux. *

 Jenna, husky sibérien d'Angeline, avec son harnais JuliusK9 et son collier. Si vous souhaitez vous promener avec elles et bien d'autres, c'est ici 

Alors, collier ou harnais ?

Outre des considérations purement esthétiques, le choix dépend principalement du caractère de votre chien et surtout de son comportement en balade. Ainsi, si votre chien ne tire pas en laisse, qu'il est d'un tempérament calme en toute circonstance lors de la balade, s'il marche très bien à votre pied et vous écoute quoi qu'il arrive, le collier est tout à fait adapté à votre chien. Attention toutefois au choix de ce dernier, privilégier un collier fin pour un petit chien, et plus épais pour un chien au gabarit plus important. Si votre chien a les poils longs, préférez un collier plat et en cuir pour que les poils ne s'accrochent pas dans celui-ci, et ne le serrez pas trop pour ne pas écraser le pelage de votre chien : vous devez pouvoir passer deux doigts entre le collier en place et la peau du cou de votre chien. 

                                              Gibbs, Golden Retriever d'Amélie, avec son collier et sa belle médaille !

En revanche, si votre chien tire en laisse et est attiré par tout ce qu'il voit lors de la promenade, vous devriez opter pour le harnais. En effet, à terme, un collier risque de blesser votre chien à force de pression sur sa trachée et son cou. Là encore, il importe de bien choisir le harnais, selon ce que vous cherchez. Si vous souhaitez un harnais dit éducatif pour éviter que votre chien ne tracte, les harnais type EasyWalk ou Multifonctions d'Animalin sont les plus appropriés. Si votre chien tire un peu, mais que vous ne peinez pas à le tenir, si vous souhaitez plutôt un harnais de travail, les harnais de la gamme Julius et son produit phare le Julius K9 sont faits pour vous. Les harnais cités sont les harnais les plus largement approuvés par les propriétaires de chiens, bien entendu, il existe d'autres marques et types de harnais, comme les harnais norvégiens, ou les harnais "premiers prix" ou bien basiques qui peuvent tout à fait convenir à votre chien. Il vous suffit d'observer votre chien lors de vos balades et de définir le type de harnais que vous souhaitez afin de faire le bon choix dans l'immensité des harnais existants, selon votre budget, car on ne va pas se le cacher, les harnais Anmalin et Julius - certes, de qualité - ne sont pas forcément accessibles à toutes les bourses. De plus, sachez que contrairement aux idées reçues, les harnais ne sont pas réservés aux grand chiens, il en existe de toutes les tailles !

                                                     Gibbs avec son harnais Animalin Multifonctions (1) et son JuliusK9 (2)

Quid du collier étrangleur ? Il est vrai que les colliers étrangleurs ou semi-étrangleurs sont très efficaces pour réfreiner un chien qui tire. Mais bien pire que le collier simple, le collier étrangleur est douloureux et dangereux pour votre chien, et ce quoi qu'on en dise et même si le chien "ne s'en plaint pas". Zoalis préconise en toute circonstance l'éducation positive, des solutions douces et agréables pour tout le monde existent, si vous rencontrez ce genre de problème nous vous invitons à prendre contact avec un comportementaliste ou un éducateur selon le type de problème pour vous aider à progresser en renforcement positif. 

Quel que soit votre choix, collier ou harnais, n'oubliez pas d'y fixer la médaille de votre chien pour faciliter son identification si celui-ci venait à se perdre. 

Ikki, braque croisé épagneul de Cassandre, avec son Julius K9

En résumé

Le collier 
Les + : peu onéreux, le chien peut le porter tout le temps, pas besoin de le mettre/l'enlever à chaque promenade, grande diversité de modèles
Les - : pression sur la trachée à la moindre traction (de la part du chien comme du maître)

Le harnais 
Les + : pas de pression sur le cou, fonction éducative, adaptable canicross, "prise" pour attraper le chien si besoin
Les - : certains chiens ne les tolèrent pas et cherche à les mordiller à la moindre occasion, possibilité de risque pour les articulations chez les jeunes chiens

Giro, le bel inconnu de Margaux, avec son harnais multifonctions Animalin 

                                                Et maintenant... en laisse ou en longe ? 

On retrouve ici à peu près le même clivage que pour le collier et le harnais. La laisse convient très bien à un chien calme, sociable, qui ne se sent pas stressé ou "limité" par la laisse. Si au contraire, votre chien est très excité, s'il monte en pression dès qu'il croise un autre chien, l'acquisition d'une longe peut régler en partie le problème. En effet, la longe n'étant pas tendue, le chien le sera d'autant moins car il se sentira plus libre de ses mouvements. Il existe également la laisse à enrouleur, que nous ne conseillerions toutefois que pour des chiens non-tireurs et qui ne soient pas d'un gabarit excessif, en effet ce type de laisse n'est pas toujours très résistant et se trouve - par son principe même - toujours tendu. Pour les adeptes des promenades "en liberté", nous conseillons néanmoins d'avoir toujours sur vous une laisse ou une longe afin de pouvoir rattacher votre chien en cas d'évênement imprévu. 

En résumé :

La laisse
Les + : pratique à transporter partout, elle ne s'emmêle pas, grande capacité de contrôle sur le chien
Les - : se tend vite, peut stresser le chien, peu de liberté

La laisse à enrouleur  
Les + : liberté, permet de garder le contrôle sur le chien
Les - : souvent tendue, pas toujours résistante

La longe
Les + : grande liberté, chien moins tendu
Les - : moins de contrôle qu'avec une laisse, le chien se prend parfois les pattes dedans

Nephyr, Braque de Weimar de Melissa, avec son harnais Julius K9 rose et son collier assorti : une vraie "Princess" !

Vous avez désormais toutes les clefs en main afin de bien choisir les outils qui vous permettront de faire de belles promenades avec votre compagnon à quatre pattes ! N'oubliez pas, pour les chiens un peu mordeurs et en cours d'apprentissage, il existe également de nombreux choix de muselières et de licols : pour la sécurité des autres, mais aussi pour la sienne.                                                                                

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Jazz, Golden retriever et Isiah, Berger Allemand de Morgane, avec leurs Julius K9

La belle Elena, BA, avec son gilet de sauvetage Julius (1) et son harnais Julius IDC power (2). Si vous aimez les photos d'Alexandra, c'est par là !

* de nombreux chiens illustrant l'article possèdent un Julius K9, Zoalis ne possède pas d'actions chez Julius, mais comme dit plus haut, c'est un des harnais les plus prisés par les cynophiles. Si votre chien possède un autre harnais, et que vous souhaitez le voir apparaître sur le blog : n'hésitez pas à envoyer un email à zoalisblog@gmail.com

Le Jack Russell Terrier

 JackPot (à droite), chiot de Zeinab 

Histoire de la race

Le Jack Russell Terrier est une race de terriers actifs. Il doit son nom au pasteur John Russell, qui, au XVIIIe siècle, s'était fait connaître comme éleveur d'une des meilleures lignées de Fox Terriers au Devonshire, en Angleterre.

John Russell nourrissait une passion pour la chasse aux renards et l'élevage des chiens destinés à cette fin. On raconte que le premier terrier du pasteur John Russell « Trump » (qu'il obtint en 1819) a été la souche de sa lignée de terriers actifs.

Si le Jack Russell a été initialement élevé pour la chasse du renard, il n'en est pas moins un terrier polyvalent, convenant pour la chasse au renard rouge ou gris, au raton laveur, à la sarigue ou au rat. Il est aussi employé sur le lapin, le ragondin et le gros gibier en France.

Standard 

 Jack, chien de Camille 

La taille idéale du Jack se situe entre 25 et 30 cm au garot. Le poids correspond à 1 kg par 5 cm de hauteur au garrot, c’est-à-dire qu’un chien de 25 cm au garrot devrait peser environ 5 kg. Son corps élastique est de longueur moyenne, plus long que haut. Les yeux sont petits, foncés, en amande, à l’expression pleine de vivacité. Les oreilles, en bouton de rose ou tombantes, sont de bonne texture et très mobiles. La queue peut être tombante lorsque le chien est au repos mais, en action, elle doit être dressée. La caudectomie est facultative. Le poil peut être lisse, rêche ou « fil de fer » et le blanc doit être prédominant, avec des taches noires ou fauves. Les taches fauves peuvent aller du plus clair au plus intense.

Caractère

Le Jack Russell est un chien fier, énergique (à ne pas confondre avec « nerveux » comme certains le qualifient), et qui n’a peur de rien. Très intelligent et vif, sa première qualité est sa capacité au travail, mais aussi ses qualités de compagnon. Il est nécessaire de ne jamais laisser ce grand chasseur courir seul en liberté. En effet, ses patrons moteurs de prédation et de chasse sont très développés ; il saisira alors la première occasion pour creuser et partir en chasse, peu importe la taille de son adversaire. Malgré sa nature indépendante, il n’en est pas moins affectueux et amical. Il est un bon compagnon pour les petits enfants, à condition que ceux-ci sachent se comporter avec lui.

Santé

Le Jack Russell Terrier est un chien robuste (avec une espérance de vie d’environ 14 ans) qui, toutefois, n'est pas à l'abri de quelques maladies héréditaires parfois dues à la consanguinité. Il est important de bien le choisir, car certains individus sont prédisposés à l'hyperactivité et sont amenés à adopter un comportement difficile.

 Fiona, chienne (non LOF) de Lorène 

 Les conseils Zoalis

Une bonne socialisation avec les autres animaux (chats, animaux de la ferme) est très importante durant la période d’imprégnation du chiot (de sa 6^ème à sa 12^ème semaine en moyenne) afin qu’il ne cherche pas à les chasser plus tard.

Les futurs propriétaires devront pouvoir offrir un minimum de 1h30 de promenade énergique par jour à leur Jack Russell. En plus de ces promenades, des stimulations intellectuelles devront être ajoutées, pour le satisfaire, et limiter les dégâts qui peuvent être causés par l’ennui.

Nombreux Jack Russell, adoptés pour leur « belle bouille » et leur petit gabarit, se retrouvent en refuge à cause des dégâts qu’ils causent, de leur « hyperactivité » (selon les dires des propriétaires, car il ne s'agit en réalité que de leur caractère propre) : ils ne deviennent alors plus gérables.

En dehors de ces besoins physiques, le Jack Russell aime passer du temps sur les genoux de son maître pour se faire câliner.

Sources

http://www.wamiz.com

http://www.jackrussellofficiel.com

Article rédigé par Lorène

L'alimentation canine

Après des années de recherches et de questionnements, la science mais surtout la génétique ont fini par trancher : le chien (canis lupus familiaris) descend bel et bien exclusivement du loup gris (canis lupus). Au delà de son intérêt pour la précision du grand arbre généalogique du vivant, cette découverte est également excessivement intéressante du point de vue de l'éthologie canine. Le chien, espèce créée par l'homme, n'existant pas dans la nature, il est donc primordial pour comprendre son comportement d'étudier celui de son ancêtre le loup.

• L'alimentation du loup

Le loup est un carnivore, il se nourrit principalement de gros gibier herbivore, mais il lui arrive également de chasser les rongeurs, car ceux-ci sont plus gras que les herbivores. On dit que le loup peut ingérer entre 5 et 10kg de viande en une seule prise, lui permettant ainsi de ne pas manger pendant plusieurs jours. En automne, le loup change de régime alimentaire et mange essentiellement du saumon, car à l'approche de l'hiver celui-ci lui apporte plus de matières grasses et possède une meilleure valeur énergétique.
Toutefois, le loup est également un animal opportuniste, si la viande lui fait défaut, il ira se nourrir ailleurs et peut alors consommer toute sorte de fruits.

• Quelle est l'alimentation idéale pour mon chien ?

Si vous ne souhaitez pas apprendre à votre chien la chasse au cerf, sanglier ou autre gibier herbivore, il existe néanmoins des solutions pour offrir à votre compagnon une alimentation de qualité sans avoir à passer par les croquettes ou la nourriture humide. Ces solutions portent un nom, il s'agit du Raw-Feeding et du BARF.

 Le Raw-Feeding

Le Raw-Feeding, ou « alimentation crue » en français, est un régime conseillé par le Docteur australien Tom Lonsdale et est basée exclusivement, comme son nom l'indique, de viande crue. L'alimentation sera alors entièrement composée d'os, d'abats et de muscles ainsi de poisson, le tout astucieusement réparti.

 Le BARF

Le BARF (Bones And Raw Feeding), ou « os et alimentation crue » en français, est souvent – à tort – associé au Raw Feeding. Il s'agit pourtant là d'un régime alimentaire quelque peu différent. En effet, si là aussi l'essentiel de la nourriture est composé par des os, des abats et de la viande crue, elle est également complétée par des fruits, des légumes et des compléments.

• Les croquettes alors... vraiment pas une bonne idée ?

Pour ceux pour qui le passage au BARF ou au Raw-Feeding parait compliqué, les croquettes demeurent tout de même une bonne alternative... à condition de bien les choisir ! Consultez toujours les étiquettes des croquettes que vous souhaitez acheter, elles sont encore la meilleure indication de leur qualité. Sachez que certains composants sont à fuir absolument, parmi lesquels :

• les céréales : bien que le chien se soit adapté à de nombreux aliments comme l'amidon par exemple, la plupart des chiens digèrent très mal les céréales (riz, maïs...), privilégiez alors des croquettes SANS céréales.

• Fuyez également les appellations du type « farine de viande » et « protéines déshydratée » il ne s'agit en réalité que de sous-produits.

• Un taux de cendres trop élevé ( + de 7 ou 8%) est également à bannir car il peut entraîner un dysfonctionnement des reins.

Veillez donc à choisir des croquettes sans céréales, avec un bon taux de protéine brute et un faible taux de cendres. Faites également attention au taux de matières grasses brutes en fonction du métabolisme de votre chien, si votre chien à tendance à prendre du poids facilement choisissez des croquettes avec un taux peu élevé, si à l'inverse votre chien est un peu maigre, privilégiez une marque avec un taux de matières grasses assez important.

N.B : la plupart des commentaires faits dans cet article sont valables pour le chat et le furet, carnivores également.

• Des sites pour aller plus loin :

http://www.tribu-carnivore.com/

http://www.b-a-r-f.com/

http://www.barf.fr/

• Où trouver les croquettes ?

https://www.nourrircommelanature.com/

http://www.zooplus.fr/

…  

Le Berger Australien 

Histoire de la race : 

Malgré son nom, il semble peu probable que le Berger Australien soit réellement originaire d'Australie. D'après certaine version, ce chien de berger était le fidèle compagnon de pasteurs basques qui auraient emmigrer une première fois en Australie, puis une seconde fois aux Etats-Unis où la race s'est développée. Pour d'autre, il est uniquement originaire des Etats-Unis et son nom d'"australien" lui aurait été attribué par analogie avec les chiens de bergers en provenance d'Australie au XIXe siècle. Ainsi, bien que la race soit rare en France jusqu'à la fin du XXe sicle et le début du XXIe, celle-ci n'en est pour autant pas une race jeune. 

Icare, aussie rouge tricolore de Ella

Standard : 

Le standard estime qu'un mâle doit mesurer entre 51 et 58 cm au garrot, alors que la taille de la femelle doit être comprise entre 46 et 53 cm. Le poids quant à lui varie selon la morphologie et l'hygiène de vie des individus, celui-ci peut aller de 19 à plus de 30 kgs pour les plus imposants. 

D'allure générale, le Berger Australien est un chien de taille moyenne, légérement plus long que haut. Le museau est droit, le stop léger mais toutefois bien marqué. Les oreilles sont triangulaires et tombantes. 

D'un individu à l'autre, les robes s'avèrent très variées. On distingue parmi elles quatre couleurs : noir, bleu merle, rouge et rouge merle. Chaque robe peut comprendre ou non du blanc et des marques feu. Si le collier est blanc, le blanc ne doit pas s'étendre au delà du garrot. Le blanc est admis sur le cou, le poitrail, les membres et la tête. Toutefois, sur la tête, le blanc ne doit pas être la couleur majoriaire. 

bergers australiens (de gauche à droite) : noir, rouge merle, bleu merle, rouge (photo wikipedia)

Caractère :

Le Berger Australien est à l'origine chien de travail très intelligent sélectionné pour la garde et la conduite de troupeaux. Il est donc un chien vif, rapide et actif. Rarement querrelleur, il est d'un tempérament stable et naturellement bon. Toutefois, il peut se montrer craintif et timide face aux inconnus et nécessite à ce titre une socialisation consciencieuse. Son intelligence et sa stabilité font du Berger Australien un chien adaptable à la vie de famille, à condition de combler ses besoins physiques et intellectuels. Elles le rendent également assez polyvalents et très compétents dans les discipline sportives, et notamment pour l'agility au même titre que son cousin le Border Collie. 

 Loup, aussie noir tricolore de Fabienne

Santé : 

Il est important de noter que dans le cas d'un mariage merle x merle, les chiots auront 25% de chance de naitre aveugle ou sourd, ou de le devenir. C'est ce que l'on appelle le "blanc envahissant". Le Berger Australien peut également être porteur d'une déficience sur le gène MDR1 (cela provoque une non protection du tissu nerveux. 

Jango, rouge merle

Les conseils Zoalis : 

Le Berger Australien est devenu un chien "à la mode", et comme tous les chiens à la mode, il convient de faire très attention dans le choix de l'élevage. 

Avant d'accueillir un Berger Australien dans votre famille, posez-vous les questions suivantes : Suis-je sportif ? Ai-je le temps de promener mon chien pendant minimum 1h30 par jour ? Suis-je capable de lui fournir une dépense physique et intellectuelle quotidienne ? 

Sous ses airs de chien facile, le Berger Australien se révèle un chien demandant beaucoup d'attention et de connaissances dans le domaine canin. Mal sociabilisé ou trop brutalisé, le Berger Australien peut devenir peureux, et donc agressif. Il peut tout à fait vivre en appartement, tant que ses besoins (sortie, jeux, éducation...) sont respectés. C'est un chien très proche de son maître, qui aime faire plaisir, d'où sa facilité à intégrer très rapidement ce qui lui est demandé.  

Sources : http://www.club-berger-australien.org/

http://wamiz.com/

http://fr.wikipedia.org/

Le Petit Larousse des Chiens, Larousse